Un regard, un soupir,
un mot, un sourire.
Leurs vies devaient se lier
au delà des corps, au delà des coeurs,
leurs êtres s'étaient emmêlés
au sein de leurs âmes et de leurs ardeurs.
Jamais n'en finir,
liens à assouvir.
L'éphémère lumière se frayait ce passage obligé
La puissante quête jouait dans ses méandres,
tandis que le mental reposait dans ses cendres.
Le brasier reprenait un second souffle,
un vent nouveau caressait les abords du gouffre,
que déjà le bâton de feu se devait d'être maîtrisé.
Baisser sa garde et ne plus penser.
Écouter le froissement des ailes,
puis laisser aller leur déploiement.
Autant d'efforts et de tourments,
sur la route des mortels.
Un chemin de vie qui se devait d'être exigé.
Ailes qui palpitent au rythme de la bise,
ailes qui dansent et se fragilisent.
Ne les touchez pas,
ne les attrapez pas,
elles risquent de se laisser emporter
dans cet abîme sans fin
tourbillonnant jusqu'au matin,
avant de s'effrondrer, epuisées.
Un vent nouveau réanime le brasier.
Les poussières d'étoiles se laissent réchauffer,
le soleil apparaît au zénith,
le souffle rouge nous habite,
et les ailes offrent alors leur plus beau spectacle,
celui de l'harmonie parfaite en une seconde éclate.
Chacune danse à sa guise.
Honneur de l'une, honneur de l'autre.
Chacune étale sa couleur
avec splendeur, avec ardeur
et les deux savent inspirer
à celui qui sait voir
l'oeuvre sacrée et sanctifiée,
christallisée dans ce miroir.
un mot, un sourire.
Leurs vies devaient se lier
au delà des corps, au delà des coeurs,
leurs êtres s'étaient emmêlés
au sein de leurs âmes et de leurs ardeurs.
Jamais n'en finir,
liens à assouvir.
L'éphémère lumière se frayait ce passage obligé
La puissante quête jouait dans ses méandres,
tandis que le mental reposait dans ses cendres.
Le brasier reprenait un second souffle,
un vent nouveau caressait les abords du gouffre,
que déjà le bâton de feu se devait d'être maîtrisé.
Baisser sa garde et ne plus penser.
Écouter le froissement des ailes,
puis laisser aller leur déploiement.
Autant d'efforts et de tourments,
sur la route des mortels.
Un chemin de vie qui se devait d'être exigé.
Ailes qui palpitent au rythme de la bise,
ailes qui dansent et se fragilisent.
Ne les touchez pas,
ne les attrapez pas,
elles risquent de se laisser emporter
dans cet abîme sans fin
tourbillonnant jusqu'au matin,
avant de s'effrondrer, epuisées.
Un vent nouveau réanime le brasier.
Les poussières d'étoiles se laissent réchauffer,
le soleil apparaît au zénith,
le souffle rouge nous habite,
et les ailes offrent alors leur plus beau spectacle,
celui de l'harmonie parfaite en une seconde éclate.
Chacune danse à sa guise.
Honneur de l'une, honneur de l'autre.
Chacune étale sa couleur
avec splendeur, avec ardeur
et les deux savent inspirer
à celui qui sait voir
l'oeuvre sacrée et sanctifiée,
christallisée dans ce miroir.